L’incarnation du désir
De la pierre dans la rivière
Qui ondule comme des ailes
Des êtres réels et piliers
Les mouvements découvrent l’amour
L’aube d’une nouvelle
relation
Je tolère l’inévitable
L’ouverture au jour
Qui quitte la nuit des rêves
Les brumes du sommeil
Et puis les délires de l’audace
Au service du temps
Le crépuscule et l’automne se
cherchent
En chantant les fruits de la
nuit immense
La vie se repose
Sans barrière apparente
L’inexistence laisse toujours
une porte
Une fenêtre ouverte
Réjean Desrosiers © 2017 04 13 003
Peter Gnass
Peter Gnass |
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